7 octobre 2010

Étincelle 8

J'épie les moments de décélération qui nous renvoient à nous-mêmes : l'esprit est comme resté en arrière et il observe un corps automate qui, tant bien que mal, résiste au temps.

1 commentaire:

Marie-Hélène V. a dit...

« Les moments de décélération qui nous renvoient à nous-mêmes » J'aurais aimé l'avoir écrit celle-là! Ça me fait penser au roman L'homme ralenti de J.M Coetzee, je te le conseille vivement.